Le Mot de Morgane
Le soleil me brûle la chair, la chair se consume, le soleil me brûle les entrailles. Douleur atroce, corps écartelé offert à la vue, mes cheveux sont en feu, une
Everyday Marseille
Le soleil me brûle la chair, la chair se consume, le soleil me brûle les entrailles. Douleur atroce, corps écartelé offert à la vue, mes cheveux sont en feu, une
Poème sur la Mer Le doux bruit des cris des enfantsmêlé au ressac de la merqui embrasse les rochers sur la jetée. Le chant des cigalesqu’on parviendrait presque à oubliernous
نسابق الريح و نشتهي القمرننظُمُ الأشعار و نلتهم الحلمنعاتب الأيام التي لم تكننسترجع ذكريات آتيةو نحسبها حنيناً لغدٍ لم يحن نغني للعائدينمن رحلة الهوىنسليهم من تعب السفرتراهم يملون من الضجرو
Pavi na pavi mayingou mabiléOujou nayi bahariTsi triya n’gazi natsiTsi yéwoha mbali na chivandré yatsi Ka ouna nfano moro ounivoudzawaMrtoutou jingué la hamoTsilala moni na gombéBandzouha moni hangou roho ya
Un coffre qui s’ouvre, un soleil de plomb typique du sud de la France,Une photo qui fleure bon les étés des années 90’,Le président est arrivé au poste de commandement,Le jaune
Como Casiopea, ella camina al revés y despacio para avanzar velozmente. Sola, también acompaña al solitario. Bajo sus puentes, reflejos cristalinos centellean mecidos por las barcas en filas. Un verano
Le Dernier PêcheurDrame en 1 acte et 1 scèneDécor: Le Quai des Belges à Marseille 8 h 45, il fait froid , temps couvert Le pêcheur: Je me suis levé
Photographe indépendante, 30 ans. Quelques morceaux de coton parsèment le drap percé d’étoiles que lui tend la nuit. Ivre de sommeil, Luna savoure le silence de la corniche et descend
Journaliste, 23 ans. Marseille ville de contraste. Dans la cité phocéenne, rares sont les artistes à ne pas trouver l’inspiration auprès de ses habitants hauts en couleur, son front de